BIENVENUE, Cher Visiteur, dans cet espace. Vous y découvrirez mon actualité sur mes formations et es ateliers stylisme. Il y a également d'autres liens pour mes sites de Créations Couture ( http://rendezvousmode.blogspot.com/ ) et de Mariages Coutumiers ( http://afriktradition.blogspot.com/ et http://nzoubou.blogspot.com/ ) Vous pouvez si vous le désirez être alerté lorsqu'un message est posté. N'hésitez pas à me contacter ou à me laisser un message...A bientôt...


Fashions.Org - "The Community"

dimanche 13 avril 2014

Libreville Fashion Week 2014 : ON DIT QUOI? Notre Magazine partenaire

Libreville Fashion Week 2014 : ON DIT QUOI? Notre Magazine partenaire:    Né du désir de donner un miroir à la Femme du Gabon, en  septembre 2011 apparait sur le marché le mensuel "On Dit Quo...

mardi 4 octobre 2011

Mireille Nzoubou à la 4 édition de la Grande Nuit Gabonaise de France

J'ai participé à la 4e édition de la Grande Nuit Gabonaise en France...En exclusivité pour vous, quelques images qui vous feront découvrir les dessous de cette belle aventure....








Jeudi 29 Septembre...






Nous arrivons à l'hôtel...




RENDEZ VOUS A TELESUD pour AFRONIGHT Jeudi ...


Pape, Princesse 12, et Amandine

Van et Vickos


Prisca Ekondo et Michèle


La séance de Maquillage...



Le maquillage est parfait...





Le Black, Guy-Joel Tchango et Arnold Djoud avec Serge après l'émission...


Les artistes après l'émission...



Avec Ebony, chroniqueuse, Afronight...



Avec Ebony et Michèle Ndoulou,femme de culture et initiatrice de la Grande Nuit Gabonaise en France



Avec Manuela Aboghe qui va présenter la soirée et Princesse 12 à la sortie de l'émission...


Après l'émission...



Le Vendredi 30


Jour de la soirée, j'ai de nouveau RDV pour la chronique Mode d'Afronight avec Ebony...

Princesse 12 m'accompagne...




Je l'ai habillée pour la circonstance. Elle porte un ensemble en raphia avec un chapeau en fibre de cocotier...


Tour à tour, la crème people de Paris se succède dans les couloirs de Télésud. Je saisis au vol Stéphane Nguéma la Panthère: " Stéphane, la Coupe, le Trophée de la CAN doit rester à la maison, au Gabon...Nous comptons sur vous les Panthères et nous sommes de tout coeur avec vous!" lui dit-je.



C'était un vrai plaisir de rencontrer cette Panthère!




Je viens de finir l'émission, et je dois me dépêcher pour rejoindre l'hôtel...La soirée commence dans moins de deux heures...


Nous sommes arrivées juste à temps pour rattraper le groupe qui s'apprêtait déjà à
partir...

Juste le temps d'une pause devant la limousine qui doit nous emmener au lieu de la soirée...




Dans la Limousine...
assise aux côtés de Natache Zang-Mabadi, nous savourons du champagne et trinquons au Gabon des Arts et de la Culture...






Mes créations ethniques qui célèbrent les 9 provinces du Gabon et la valeur patrimoniale du Raphia...



Denise Boukandou-Uro est de la partie. Femme de Culture, elle a honorée de sa présence cette Soirée Prestige...



LES ARTISTES DE LA 4e GRANDE NUIT GABONAISE...







Princesse 12b et Michèle Ndoulou


Ekondo, père et fille...



Amandine, la Reine d'empire...



Pape Nziengui



Natacha Zang-Mabadi


Prisca Ekondo, et Guy-Joel Tchango


Guy-Joel Tchango


Lauriane Ekondo


Arnold Djoud et Van Mabadi

Princesse 12





Dans la Limousine....


Arnold Djoud


Natacha Zang-Mabadi et Mireille Nzoubou


Prisca fait le service...

Arnold, Prisca, Vickos et Van...



Pour le Ministère de la Culture
Mr Mbina Ikapi D.A.F au Ministère de la Culture...

dimanche 24 avril 2011

Mireille Nzoubou dans le Magazine Amina...



Salon INternational du Livre et des Arts de Libreville, Première édition...






Site:http://www.agpgabon.ga/spip?php?article1104




LIBREVILLE source: (AGP)- Un salon international du livre et des arts de Libreville (SILAL), le premier du genre organisé au Gabon, s’ouvre mercredi dans la capitale gabonaise, afin d’offrir aux écrivains et aux artistes africains un espace crédible et compétitif pour exposer leurs œuvres, leurs idées, leurs réflexions et leurs créations.





Axée sur le thème ‘’Ecriture et interculturalité’’, la manifestation de quatre jours (30 mars au 2 avril) a été organisée par les Editions Ntsame en collaboration avec le ministère de l’éducation nationale, afin de ’’donner à l’écriture la place qui doit être la sienne dans une Afrique qui veut se donner les moyens de réussir son développement et pour encourager les échanges intellectuels et culturels entre les pays du sud’’.


Le comité d'organisation



Le SILAL a également pour objectifs de ’’susciter l’envie d’écrire et de lire chez les plus jeunes et d’interpeller les autorités politiques africaines sur la nécessité d’initier et de renforcer les mesures pouvant permettre aux écrivains et aux artistes africains de vivre convenablement de leur art’’.
Présidente du comité d’organisation, l’éditrice gabonaise Sylvie Ntsame, propriétaire des Editions éponyme, a expliqué que le SILAL a pour ambition de rompre avec un certain immobilisme et la passivité.
’’Nous ne voulons plus être de ceux qui attendent que l’action vienne d’ailleurs, encore moins que le développement de notre continent soit implulsé par l’extérieur’’, a-t-elle martelé.
L’art et l’industrie du livre, les maisons d’édition au Gabon, le marché du livre en Afrique centrale, la place de la lecture en Afrique sont autant de thèmes qui feront l’objet de conférences animées par des spécialistes, au cours du SILAL.
La manifestation va enregistrer des participants en provenance notamment des pays de la sous-région de l’Afrique centrale qui vont tenir des stands d’exposition à la Cité de la Démocratie, site du SILAL, pour présenter au public gabonais quelques unes de leurs plus belles productions artistiques et littéraires.





Sylvie Ntsame, Présidente du SILAL ( Conférence de presse)



Mireille Nzoubou pendant la Conférence de Presse...



Gabon: Quand le Gabon s'éveillera


Source: site: http://fr.allafrica.com/stories/201104070494.html
Marcelin Vounda Etoa
7 Avril 2011

Dans son blog, Alain Mabanckou affirmait il y a quelques années que la littérature gabonaise n'existait pas, au regard du nombre infime des oeuvres littéraires de ce pays et de leur faible réception critique. En son temps, cette position de l'auteur de Verre cassé suscita un tollé et une cascade de réactions, notamment de Gabonais. Luc Ngowet, critique littéraire gabonais, coupant la poire en deux, affirmait que si la littérature gabonaise n'existe pas, elle est au moins en gestation.


Remontant le cours de l'histoire de cette littérature Ngowet rappelle que les premières expressions de la littérature gabonaise ont eu lieu en 1966, lorsque, à l'occasion du festival des arts nègres, la pièce de Vincent de Paul Nyonda La mort de Guy Kafi fut créée à Dakar.
Après le théâtre, s'en suivirent un recueil de poèmes de Josette Lima et un autre, fait de contes rassemblés par le missionnaire André Raponda Walker dont l'une des premières maisons d'édition du Gabon porte aujourd'hui le nom.


Histoire d'un enfant trouvé, le premier roman gabonais qui ne paye pas de mine malgré sa densité et la qualité de l'écriture de son auteur, Robert Zotoumbat, est quant à lui paru en 1971 aux éditions CLE à Yaoundé. Après ces pionniers, plusieurs jeunes auteurs ont été révélés dont les plus connus sont Maurice Okoumba Nkoghe, Angèle Rawiri et Bessora.
Au demeurant, la littérature gabonaise, si elle existe, est donc très jeune. Premiers à être conscients de l'état de leur littérature, de jeunes universitaires et intellectuels gabonais se sont engagés, depuis une dizaine d'années, à rattraper leur retard.
Ils bénéficient heureusement du soutien des politiques. Une Union des écrivains gabonais existe qui dispose d'un siège et de subventions minimales de fonctionnement.


Cette année, les lauréats des prix littéraires du PDG, le parti au pouvoir à Libreville, ont reçu leurs lots - des récompenses en espèces sonnantes de 5, 3 et 2 millions pour les trois lauréats - des plus hautes autorités de ce pays.
Halnaut Engouang, l'auteur de Dis, quand me suis-je inhumé ? paru aux éditions Ntsame, grand prix littéraire du PDG 2011 a ainsi reçu son enveloppe des mains mêmes du président Ali Bongo le 12 mars dernier.
Après un salon national du livre organisé l'année dernière, les éditions Ntsame ont, cette année, tenu le pari de l'organisation d'un salon international de la littérature et des arts, à Libreville.
Du 29 mars au 2 avril dernier, des éditeurs camerounais, congolais et gabonais, des auteurs de deux de ces trois pays se sont retrouvés à la Cité de la Démocratie de Libreville. Tables rondes, débats, expositions-ventes ont meublé le premier SILAL qui a drainé plus de deux mille visiteurs.
Grâce au soutien financier de l'Etat gabonais, à l'enthousiasme et au professionnalisme de l'équipe technique dont elle a su s'entourer, la dynamique présidente de l'Union des Ecrivains Gabonais a donc relevé un défi que les «grands»voisins du Gabon, Cameroun et Congo notamment, ne songent même pas encore à affronter.
Le football n'est pas, dans notre pays, le seul domaine où il existe un étonnant décalage entre le rayonnement international de quelques uns de ses fils et la médiocrité des manifestations et des infrastructures endogènes. Personne ne s'étonnera donc que bientôt, Libreville devienne la plus grande place littéraire de l'Afrique centrale.